19 août 2021

Des pruneaux pour l’apéro

Encore une préparation simple rapide et surtout très efficace.. si si, j’vous jure.. bon, ok, faut aimer les pruneaux.., et le jambon.., et le fromage aussi.. mais franchement avec de bons produits c’est la régalade assurée..!! Et puis vous pouvez de toute façon adapter avec ce que vous avez, ce que vous aimez..

C’est ma frangine qui m’a fait découvrir cette recette, et honnêtement je ne me lasse pas de la faire découvrir à mon tour dès que l’occasion se présente.. le plus long est de dénoyauter les pruneaux.. (mais vous pouvez aussi les acheter déjà dénoyautés..) par contre pour vraiment vous régaler, il en faudra d’excellente qualité, ça va de soit.., d’ailleurs merci à Joël chez qui je me sers..! 




Steph, chose promise chose due.., je te dédie cet article.., merci d’être qui tu es. 

 


Bah c'est parti, vous allez voir, c’est on ne peut plus simple à mettre en œuvre..! Vous aurez besoin de :


 

- 5 tranches environ de jambon de montagne (ou de lard..)

- 20 pruneaux moelleux

- une buchette de chèvre (Maursoise pour moi..)

 

 

Commencez par dénoyauter les pruneaux en les incisant de préférence légèrement sur le côté.

Couper des rondelles de chèvre ni trop fines ni trop épaisses (environ ½ cm d’épaisseur..) les diviser en deux et introduire chaque moitié dans un pruneau.. 

Terminer en enroulant une petite bande de jambon autour de chaque pruneau.. (perso je divise en général en 3 chaque tranche dans la longueur..) vous pouvez vous aider d’une pique pour faire tenir l’ensemble en traversant de part et d’autre chaque pruneau.. en cuisant le jambon va se resserrer et épouser parfaitement l’arrondi du pruneau.. 


 

 






Mettre à chauffer un filet d’huile dans une poêle, faire revenir les pruneaux quelques minutes.. quand le jambon commence à dorer c’est prêt. Y a plus qu’à se régaler..!!

 

 

 

 

 

      

                                  




                                    «  Bien prunement vôtre »



































04 juillet 2021

Confiture

J’adore la confiture d’abricot.., c’est sûrement l’une de mes préférées.. mais avec de bons abricots.. des abricots du Roussillon.., à mon sens les meilleurs qui soient..!! 
Ma confiture n’a rien d’exceptionnel.. elle est juste simple et basique, je ne m’embête pas avec un thermomètre.. je prends juste mon temps pour la faire. C’est ça mon secret. 





La particularité de ma confiture c’est que je ne la sucre que très peu.. 
En effet, puisque je prends mon temps je n’ai pas besoin de mettre beaucoup de sucre.. c’est évidemment sur un loupé que je me suis rendue compte de ça : une année, beaucoup de fruits bien mûrs avaient atterri dans ma cuisine.. j’ai tout de suite pensé à faire de la confiture.. seulement voilà, après avoir tout préparé et bien pesé, je n’avais pas assez de sucre, du coup j’ai fermé ma marmite pour la mettre au frais.. où elle a passé 2 jours.. je n’ai au final pas rajouté le sucre manquant.. et j’ai cuit ma confiture en l’état après deux jours de macération au frais.. Résultat : une confiture fruitée à souhait.., le jus des fruits qui avaient macérés dans le sucre suffisait à la parfumer comme il fallait.. Désormais j’allais désucrer au maximum mes confitures.. j’en suis à 40% de sucre, autrement dit je mets 400 grammes de sucre pour 1 kilo de fruits.. on peut descendre jusqu’à 35% de sucre.., mais en dessous la confiture risque de ressembler plus à de la compote.. mais selon les fruits c’est envisageable, pour faire bon, il suffit souvent juste d’un peu d’audace.. ;) c’est ce que j’ai fait pour ma dernière confiture, j’avais quelques fraises à passer, des pêches, des abricots et quelques myrtilles.. que des fruits hyper mûrs, j’ai fait macérer 36h environ.. 40 minutes de cuisson et c’était top.
 
Avant de vous détailler ma recette en images je vais saluer comme promis Isabelle et Oea rencontrés il y a peu..!
 
Allez, à vos balances, cette fois on y va..!!
 
Comme je vous le disais plus haut, je ne sucre plus qu’à hauteur de 40% mes confitures.., et j’en suis on ne peut plus satisfaite.. Petite précision, je n’utilise plus de sucre blanc issu de la betterave sucrière, je lui préfère aisément le sucre de canne non raffiné.. le rapadura a une saveur assez particulière, selon les fruits ça peut apporter un petit plus.., vous pouvez aussi mélanger plusieurs sucres.. faites comme vous le sentez, comme vous aimez, avec ce que vous trouverez..



 
Il me semble que c’est William Reymond qui a dit « à chaque fois que vous mangez, vous votez. Vous votez trois fois par jour, il faut s’en souvenir » vous voyez l’idée..? Je vous laisse méditer là-dessus.. Il a écrit un excellent livre (non, je ne l’ai pas lu, mais je sais qu’il est excellent..) qui s’intitule Toxic, il traite de la malbouffe et de l’obésité.., ça pourrait vous aider à méditer.. A bon entendeur.. voici ma recette de base pour faire sa confiture maison..
 
Utilisez le produit en croix pour calculer le grammage de sucre, c’est je pense le plus simple.. Quoi vous avez oublié comment on faisait..?!? Je ne vous crois pas..!! Le produit en croix ça ne s’oublie pas..!! Bon, ok, je vais vous ré-expliquer comment on fait.. si ça peut vous motiver allons-y..!! 
 
Pour ma part j’avais précisément 4,120 kilos d’abricots.. soit 4120 grammes.. (oui, ça en fait, et oui, je parle en abricots dénoyautés..)
 
Je vous ai dit que j’utilisais 400 gr de sucre pour 1kg de fruits, soit 1000 grammes de fruits.. pour le calcul c’est très simple, on fait :
 
                  400 --> 1000
                   x  -->  4120     
 
Pour calculer « x » on multiplie 400 par 4120 et on divise le résultat par 1000 on obtient 1648 gr de sucre à ajouter.. Et voilà.  Oui, j’ai arrondi.. j’ai arrondi à 1640 grammes.., soit juste en dessous..!! 
 
Bah c’est parti.. maintenant que vous avez calculé de combien de sucre vous allez avoir besoin, vous n’avez plus qu’à le verser sur vos fruits pour les mettre à macérer au frais pour 24 à 48h.. (mais quelques heures à température ambiante ça marche aussi..). 



























Quand c’est bon, vous préparez vos pots (l'idéal est de les ébouillanter..) vous mettez votre marmite à mijoter, perso je la laisse une petite heure à feu doux.. si besoin vous pouvez écumer la mousse qui peut se former sur le dessus.., mais en théorie elle se dissipera d’elle même en cuisant.. vous remuez de temps en temps et c’est bon. Depuis peu je rajoute le jus d’un citron à la fin de la cuisson.. c’est facultatif.. faites comme vous le sentez..! 




























Il faut mettre la confiture en pot tant qu’elle est très chaude.. on ferme les pots, on les retourne (oui c’est important, ça sert à stériliser l’air qui se trouve dans les pots..) et quand ça a refroidi on cache range tout ça.. 








 













Voilà. J’espère vous avoir motivés pour que désormais vous prépariez vous même vos confitures.. Et si vous n’êtes pas particulièrement amateurs, dites vous que ça fera un super cadeau à offrir..!! Pensez-y.. la confiture se conserve sans limite.. Pour la petite anecdote, j’ai retrouvé un pot vieux de 10 ans au fond d’un placard, bah la confiture n’avait pas bougé.. elle était même très bonne.. bon, un peu plus sucrée que la mienne.. mais bonne quand même.. 
 


Mon pêché mignon.. avec un filet d'huile d'olive.. 


 




 
                         « bien confiturement vôtre » 






















30 avril 2021

Sardines (presque) parmentières

Vous avez fait du rangement et trouvé deux boites de sardines dans le fond de votre placard..? J’ai la recette qu’il vous faut..!! Un presque parmentier de sardines..!! Oui, « presque » parce que j’avais aussi un céleri-rave et que je l’ai incorporé à mes pommes de terre.. franchement c’était pas mal..!! J’avais repéré cette purée chez ma belle Isa du coup ça m’a bien inspirée..!! D’ailleurs une astuce trouvée également sur son blog, si votre céleri-rave est trop gros et que vous ne voulez pas le cuire entièrement détaillez le et congelez-le cru.., ainsi vous gagnerez du temps et pourrez l’incorporer tel quel pour un potage ou une purée.. 
Je vous donne la recette que j’ai improvisée en fonction de ce que j’avais sous la main et dans ma jardinière mais évidemment faites selon votre réalité.., savoir s’adapter c’est ça cuisiner..! 
 
 


On est partis..? Pour ce gratin réconfortant qui nous fera patienter en attendant les beaux jours il vous faudra :
 
- un céleri-rave (environ 1kg)
- environ 800 gr de pommes de terre
- environ 500 gr de champignons frais
- 4 gousses d’ail
- 2 oignons jaunes
- quelques brins de ciboulette 
- 2 boîtes de sardines
- ½ verre de muscat 
- huile d’olive et de noisette
- du sel et du poivre du moulin
 
 
On va commencer par peler et détailler pommes de terre et céleri-rave pour les mettre à cuire à l’anglaise (dans un grand volume d’eau salée..) départ à froid pour une trentaine de minutes selon la grosseur des éléments.. 
 


Pendant que ça cuit, peler les oignons, les gousses d’ail et les champignons.


Commencer par émincer les champignons pour les mettre à cuire dans une poêle avec un filet d’huile d’olive afin qu’ils perdent leur eau de végétation, continuer avec les oignons pour les ajouter aux champignons qui ont bien réduits, saler et poivrer, remuer, quand les oignons commencent à bien dorer déglacer avec le muscat (ou ce que vous avez sous la main.. du vin blanc c’est très bien.. sinon versez juste un peu d’eau..!) laissez mijoter quelques minutes à feu moyen avant d’incorporer les gousses d’ail hachées, puis les sardines égouttées et juste coupée grossièrement, terminer avec la ciboulette ciselée (mais du persil ferait très bien l’affaire..). 



 



























Lorsque pommes de terre et céleri-rave sont cuits, les égoutter, et les passer au moulin à légumes (ou presse-purée.. mais vous pouvez aussi les écraser à la fourchette..) salez poivrez à votre goût, perso j’ai ajouté un trait d’huile de noisette, vous pouvez utiliser du beurre ou ne rien ajouter.. faites comme vous le sentez..! 



Y a plus qu’à assembler.. on tapisse notre préparation aux sardines dans le fond d’un plat à gratin, on verse par dessus notre purée puis on met à gratiner histoire de faire légèrement souffler la purée, pour ma part une vingtaine de minutes à 180°C en chaleur statique, faites en fonction de votre four, vous pouvez ajouter un peu de chapelure avant d’enfourner moi je n’en avais plus.., mais ça n’a pas manqué au plat..









 
 
 
 
 
 
 
                                                                














                                       « Bien sardinement vôtre »








 
















31 mars 2021

« Tarte-Andra une fois »

« Tarte-Andra une fois » pourquoi donner ce nom à une simple tarte au fromage qui plus est d’origine alsacienne..?! Et bien parce que pour moi cette tarte a une histoire, c’est mon amie Alexandra (et pas Alex où Andra manquerait.. vous avez saisi..?) qui me l’a faite découvrir il y a déjà quelques années.. je ne me souviens pas de quand exactement.. mais je devais être ado tout au plus.., autrement dit c’était il y a fort longtemps.., et pourtant je n’ai rien oublié de son goût..! 
En fait, il faut savoir que dans la version belge, on dépose de la compote de pomme sur le fond de tarte avant de venir verser dessus l’appareil au fromage blanc, et honnêtement ça fait toute la différence..!! 
 
Ma belle Alexandra, je te dédie cet article, à l’amitié qui ne vieillit pas malgré les années qui passent.. 




Pour ma tarte souvenir, la veille j’ai sorti du congélateur des rognures qu’il me restait de ma pâte feuilletée vous vous souvenez..?! Mais faites avec ce que vous avez, ce que vous aimez, une pâte brisée ira tout aussi bien.. ici j’ai utilisé du fromage blanc au lait de brebis ainsi qu’un yaourt également au lait de brebis parce que je préfère.. mais la recette de base c'est le classique fromage blanc au lait de vache qui est utilisé.. 
Je me souviens qu’Alexandra avait utilisé une goutte d’extrait d’amande amère, je n’en utilise pas du coup je l’ai remplacée par de la poudre d’amandes (j’aurai pu la torréfier pour lui donner plus de saveur, mais j’ai un peu eu la flemme..).

C’est parti on va commencer par la pâte, après avoir opté pour celle qui vous convenait le mieux, l’étaler finement et foncer un cercle de 28 cm de diamètre avec (ou un moule à tarte.. ici j’ai utilisé environ 260 gr de rognures..), réservez. 










 












Préparation de l’appareil au fromage blanc : 
 
- 500 gr environ de fromage blanc (de votre choix)
- 80 gr de sucre cassonade (vanillé maison ici)
- 30 gr d’amidon de maïs
- 50 gr de d’amandes en poudre
- 3 œufs que vous allez clarifier (séparer les blancs des jaunes)
- et 230 gr environ de compote de pommes qu’on va étaler sur le fond de tarte. 
 
Simple et efficace, on commence par mélanger le fromage blanc avec le sucre l’amidon de maïs et la poudre d’amandes puis on clarifie les œufs et on monte les blancs en neige. 







On préchauffe le four à 200°C.


On mélange bien les jaunes à l’appareil au fromage blanc, puis on incorpore délicatement les blancs montés. 
Verser sur le fond de tarte sur lequel on aura préalablement étalé la compote de pommes. 



























On enfourne plutôt en bas du four, pour ma part j’ai baissé à 185°C en fonction sole et voûte pour 35 minutes environ,  j’ai ensuite décerclé ma tarte pour re enfourner une bonne dizaine de minutes toujours dans le bas du four mais en chaleur tournante cette fois et à 190°C, faites en fonction de votre four et du moule que vous utiliserez..





Laisser refroidir sur grille, cette tarte se déguste plutôt froide, de plus elle se tiendra mieux que si vous la coupez encore chaude.








 






                         













                         
















                              « Bien tarte-Andra-ment vôtre » 















25 janvier 2021

Galette des Rois

Maintenant que vous savez faire la pâte feuilletée dans les règles du Roi.. euhhhh de l’art.., on va s’atteler à faire une jolie galette des Rois. 
Généralement fourrée à la frangipane je préfère pour ma part la crème d’amande que je trouve plus gourmande.. de plus, à mon sens, ça demande moins de travail puisque point de crème pâtissière à faire à côté..! Mais du coup, vous vous en doutez, la crème d’amande se doit d’être goûteuse et parfaitement équilibrée, honnêtement je crois que la mienne l’est, du moins les retours que j’ai sont en général plutôt positifs du genre « je sais pas comment tu fais ta crème d’amande mais elle est terrible » (Sara, j’ai une pensée toute particulière pour toi..) c’est pourquoi je vous livre mes secrets pour réussir à coup sûr une galette des Rois digne de ce nom.
 
Nouchka, Philippe, bon anniversaire à vous deux..! Vous serez la reine et le roi jusqu’à la fin du mois.. 

 
 
Pour cette galette à la crème d’amande, il vous faudra :
 

2 disques de pâte feuilletée 
- 80 gr de beurre fondu                      
- 90 gr de sucre cassonade (vanillé pour moi)
- 1 œuf entier + un autre pour la dorure
- 120 gr de poudre d’amande torréfiée
- 1 bouchon de rhum (soit 12 gr)
 

 



Idéalement vos disques de pâte feuilletée auront été étalés et « prédécoupés » la veille voire l’avant-veille (étaler sur environ 3mm d'épaisseur, découper des disques d'environ 28 cm de diamètre, ils seront re-découpés au moment du montage..) ce repos au frais permettra à la pâte d’être plus détendue, cela évitera qu’elle ne se rétracte de trop et/ou ne se déforme en cuisant, je ne vais pas rentrer dans des détails trop « techniques » mais en gros en procédant ainsi vous aurez un meilleur résultat car le réseau glutineux structuré sera plus stable ce qui aura une incidence sur l’élasticité de la pâte..
 
Bon, ben c’est parti, sortez vos disques, une plaque de cuisson, un couteau bien affûté (ou même un cutter.. avec une lame neuve, on est d’accord..) un saladier, une fourchette et une maryse. 
Si vous avez une fève n’oubliez pas de la sortir.. pour ma part c’est une amande torréfiée que j’ai utilisée.. 



C’est on ne peut plus simple, commencer par préparer la poudre d’amande pour qu’elle ait le temps de refroidir, personnellement je la torréfie au four une dizaine de minutes à 200°C départ à froid, mais vous pouvez très bien la torréfier à la poêle.. attention cependant, ça va assez vite.., vous pouvez évidemment sauter cette étape, mais à mon sens la torréfaction de la poudre d’amande est ce qui fait toute la différence..
Ensuite on passe à la préparation de la crème d’amande, commencer par faire fondre le beurre, idéalement il faut qu'il soit à peine fondu, ajouter le sucre, mélanger, incorporer l’œuf, mélanger, finir avec la poudre d’amande torréfiée et le rhum (qui ne parfumera que très discrètement, je trouve que c’est meilleur mais encore une fois cela dépend des goûts de chacun.. faites comme vous le sentez..!). La crème d'amande est prête.
























Y a plus qu’à l’étaler sur le premier disque de pâte feuilletée dont on aura préalablement humidifié à l’eau les bords.. cette action permettra au second disque de bien adhérer, éviter l’œuf, l’eau est bien plus efficace pour souder la pâte, le rendu n’en sera que plus net, laisser une bordure d’environ 2 cm.. on n’oublie pas la fève.. ensuite on vient déposer le second disque de pâte feuilletée. Souder avec la paume de la main pour éviter les traces de doigts.. 
Pour un feuilletage vraiment uniforme et régulier je recoupe les bords de la galette, je me sers d'un cercle à entremets (diamètre 26 ici..) pour marquer la pâte avant de la recouper.. dorer à l’œuf (un œuf entier battu avec une belle pincée de sucre..) puis dessiner ce que l’on souhaite avec la pointe d’un couteau ou un cutter.. terminer en perçant la pâte sur quelques endroits au niveau des traits pour permettre à la vapeur d’eau de s’échapper, et surtout on ne jette pas les chutes de pâte.., congelez-les ou placez-les au frais pour les utiliser ultérieurement..




















 
 


Y a plus qu’à enfourner. Démarrer à four chaud, pour ma part je le préchauffe à 240°C je baisse à 220°C en chaleur statique au moment d’enfourner ma galette en bas du four, je la laisse cuire 30 minutes auxquelles je rajoute 10 minutes à 200°C en basculant en chaleur  tournante.. faites en fonction de votre four. 
Laisser refroidir sur grille.




















 
                               





             


                                       «  Bien royalement vôtre »